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Presse aidant ..... La N.R pour découvrir d'illustres niortais.....ou pas !

1 Décembre 2011 , Rédigé par daniel Publié dans #Presse aidant

L’été dernier « La Nouvelle République » a proposé à ses lecteurs, réguliers ou occasionnels (les touristes), un jeu qui consistait, sur la base d’indices très limités, à découvrir un individu mystérieux ayant compté dans l’histoire de Niort. Dans l’édition du lendemain, un portrait de l’illustre personnage était tracé, auquel était joint le nom du gagnant du jeu. Je n’ai rien gagné, je n’ai d’ailleurs jamais joué mais j’ai bien aimé cette rubrique « Ouvrez l’œil ».

Le principe du jeu fut expliqué le samedi 16 juillet : « un petit détail qui cache une grande figure » ; le montant des gains aussi à savoir un guide touristique du marais poitevin ou de l’île de Ré et même pour celui ou celle qui trouverait  le plus d’énigmes au cours de l’été un magnifique album « se souvenir des Deux-Sèvres ». Ah ! On ne lésine pas à la N.R.  

Je charrie un peu mais c'était sympa et j’ai vraiment apprécié cette série dont j’ai conservé les articles pour une « probable » exploitation afin de faire connaitre, à mon tour, par ce blog à quelques fidèles lecteurs qui ne vivent pas dans cette région, à savoir ma famille et les amis des temps passés ailleurs, l’immense richesse culturelle de ce terroir. Je me demande si avec le mot immense je n’en fais pas un peu trop ? Oui ? O.K. et c’est la raison de la fin du titre « Ou pas ! », une fin  qui est, on l’aura compris, à double lecture : découvrir ou pas et illustre ou pas : chacun fera son choix….. Sans compter que certaines célébrités du cru dont j’ai déjà parlé sur ce blog ne figuraient étonnamment pas parmi l’aréopage proposé …. A chacun ses grandes figures……

 

Le 1er portrait, paru le mardi 19 juillet, vantait les mérites de l’espionnage industriel en présentant la famille Main liée à l’industrie de la chamoiserie et ganterie.  D’abord Thomas-Jean Main qui, jeune homme, n’hésita pas au XVIIIe siècle à s’exiler en Angleterre et pirater l’usage de la pierre ponce pour obtenir de plus belles peaux…. Ainsi la famille fit fortune et le bonheur de la classe ouvrière niortaise au point que son petit-neveu Thomas Hippolyte Main, au siècle suivant, fit un leg important à l’hôpital et à la Ville de Niort. « Un million de francs pour cette dernière, à condition qu’elle fasse construire un pont sur la Sèvre….. Les Ponts-Mains ont arrimé au centre ville le quartier populaire et industriel du Port. » …. Je me disais bien que le nom Main me rappelait quelque chose…quand il y a un pont à faire !     

 

 Le jeudi 21 juillet la N.R. proposait comme second personnage mystérieux Bernard d’Agesci, dont j’avais entendu parler pour cause d’un assez récent musée niortais portant ce nom et pour lequel j’avais fait un petit boulot d’expertise de réhabilitation de structure avant aménagement…. J’y étais donc entré mais au temps du gros-œuvre, bien avant que ne soient exposées des autres œuvres.  Je croyais d’ailleurs que d’Agesci était un Dupinceau italien qui avait fini ses jours à Niort….. Ben non ! J’avais tout faux. Par le journal j’apprenais que le peintre était bel et bien un niortais pure souche, « de son vrai nom Auguste Bernard, il se fit appeler Bernard d’Agesci, comme dans les années soixante les apprentis rockers français s’inventaient des pseudonymes qui sonnaient américains ». L’artiste devenant pensionnaire à la Villa Médicis exerça ses talents pendant sept années en Italie. De retour en France révolutionnaire en 1792 il rejoignit sa famille à Niort.…Où on lui doit entre autres « cette fameuse maison à crépi rose d’allure toscane…. »

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Le 23 juillet Aliénor d’Aquitaine était le troisième personnage mystère. Le détail-photo venait d’une fresque qui orne la salle du Conseil municipal de Niort. C’est le côté people du personnage qui intéressait le journaliste,  il faut dire qu’elle fut successivement la meuf de deux rois : d’abord le roi capétien français Louis VII, dit Louis le gros, qu’elle épousa à l’âge de 14 ou 15 ans, le roi n’étant guère plus vieux. Dix ans plus tard le couple royal s’embarquait pour la seconde croisade et c’est du côté d’Antioche que la reine se serait rendue coupable d’adultère (et avec un autre cousin ou oncle). Ah ! Ces croisades ! De retour de terre sainte le mariage fut annulé par décision papale pour cause de cousinage. Aliénor reprenait sa dot territoriale pour l’offrir en seconde noce à un autre cousin Henri II Plantagenet Comte d’Anjou qui allait devenir, quelques années plus tard, Roi d’Angleterre. Aliénor avait alors 30 ans et 10 ans de plus que son jeune époux mais quand on aime on ne compte pas à moins que ce ne fut, à l’époque, la manière de régler les sommets européens. Pour le reste est-il utile de continuer à faire courir des commérages d’autant que cette dame d’antan est morte à plus de 80 ans à Poitiers. « Le monument emblématique de Niort, le Donjon lui est étroitement lié : Henri Plantagenet l’a fait bâtir pour protéger les possessions de celle qui était son épouse. »

L’individu mystérieux suivant, le quatrième à débarquer chez moi par mon quotidien du 26 juillet, a pour nom Auguste Tolbecque. Inutile de préciser que c’était alors pour moi  un illustre inconnu et j’appris alors « qu’Auguste Tolbecque (1830-1919) devait sa réputation à son rôle d’archéologue des instruments de musique….. Son talent de luthier était réputé dans toute la France…. ». Voilà j’étais subitement moins ignare mais de là, à vraiment me passionner par la biographie du bonhomme….  Sauf à retenir « qu’il avait fait du Fort Foucault sa maison d’habitation où il reconstituait avec une infinie patience des lyres d’antiquité grecque, des violes de la renaissance… ». Respect.

Pour être franc, je n’ai guère porté plus d’intérêt à l’illustre suivant que me proposait le journal du jeudi 28 juillet sauf à reconnaitre que ce devait être un homme d’exception mais aujourd’hui, avec le temps va tout s’en va…..surtout qu’un autre hôpital a été construit depuis…. Mais respect aussi, double respect même car Georges Renon (1875-1942) était un grand chirurgien et plus encore un grand bâtisseur rénovateur, «  il militait pour démocratiser l’accès aux soins….. Il a fait entrer l’hôpital de Niort de plain-pied dans le XXe siècle jusqu’à en faire en son temps un modèle en France. Sa renommée est telle que s’y tenaient d’importantes réunions scientifiques. Il fut d’ailleurs à la libération classé deuxième en France….. » mais le journaliste ne précise pas dans quelle catégorie.

Enfin, un politique, un vrai républicain de gauche si représentatif de la sensibilité niortaise majoritaire. Ludovic Martin-Bastard (1835-1915) fut maire pendant 24 ans (ptn 4 mandats, il faut aimer ça !). C’est à ce maire que l'on doit la construction de l’actuel hôtel de ville, mais ce qui semble avoir le plus marqué l’époque  c’est qu’il ait voulu imposer aux croquants locaux la construction « d’un lycée de jeunes filles à Niort, ce qui déclencha une tempête inouïe….Les controverses récentes sur la piétonisation sont de l’eau tiède comparée à la querelle qui a enflammé Niort à l’époque…. L’opposition composée de républicains conservateurs et de monarchistes voua  aux gémonies ce Robespierre de baudruche qui sous prétexte de créer un lycée, se livrait en vérité à sa folle passion anticléricale ».  Pervertir les jeunes filles par l'instruction publique au lieu d'en faire de bonnes chrétiennes, futures mères de famille. Quel scandale !

Ce mardi 2 août, c’était encore l’arrivée d’un inconnu pour moi, néo-niortais depuis 25 ans. J’ai honte quand je pense que j’ai vécu dans plusieurs pays africains pendant des périodes de trois ans et dont je sais presque tout,  qu’il m’arrive aussi de faire des séjours touristiques, d’une ou deux semaines, dans des pays d’où je reviens riche d’informations et que depuis un quart de siècle  je vis dans une belle région dont je sais si peu…. J’ai vraiment honte ! Mea culpa mais merci la NR pour permettre cet acte de contrition. Ce 2 août je faisais connaissance avec « Georges Biscara, l’homme dont les machines avaient conquis le monde…A Niort à la fin du XIXe siècle il y avait une industrie très réputée, celle des trieurs à blé.  Au début du XXe siècle Georges Biscara va donner à l’entreprise toute sa dimension internationale en diversifiant la gamme. Les trieurs à café ouvrent les portes de l’Amérique du Sud et de l’Afrique Noire. L’industriel finit par exporter dans 68 pays… ». Un aventureux, j’adore ! 

Un nouveau personnage mystère fut présenté le jeudi 4 août, et en voila un qui m’intéresse au plus haut point….. Au point d’ailleurs que je n’ai pas grand chose à dire, ici et maintenant, sur « Jacques de Liniers, l’homme aux 5200 descendants dans le monde. J’ai déjà fait sur ce blog deux billets où j’évoque l’histoire tumultueuse de ce niortais devenu vice-roi et héros national à Buenos-Aires. J’y reviendrai même, sans doute un jour prochain, pour compléter mes premiers billets suite à de nouvelles sources, mais je ferai ça dans un billet complet et non par un paragraphe.

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Madame de Maintenon est enfin arrivée chez moi, à l’heure du petit déjeuner (à peu près vers 5h/5h30) le samedi 6 août « Celle qui aurait épousé en secret Louis XIV en fin  de règne après avoir été la gouvernante de ses bâtards…..Françoise d’Aubigné( 1635-1719), future madame de Maintenon, est née à Niort, où son père Constant, fils du poète Agrippa d’Aubigné était en prison, au Donjon,  pour dettes. Elle passa une partie de sa jeunesse au château de Mursay, à Echiré, près de Niort qui appartenait à sa tante….. Où l’on peut admirer ‘’l’Allée du Roi’’, (du best-seller de Françoise Chandernagor)  bordée de 80 tilleuls dont certains sont aujourd’hui tricentenaires…. »

Je vais passer rapidement sur les portraits du journal du mardi 9 août concernant Théophile Boinot et de ses fils Charles et Louis qui furent certes de grands industriels comme la famille Main précédemment aux temps bénis où il y avait des emplois manufacturiers en France et à Niort. « Ils furent de grands industriels de la ganterie du début du XXème siècle, champions de l’export vers le Canada, l’Australie, les Etats-Unis, les cours royales européennes et le Vatican…. Et un peu comme leurs prédécesseurs les Mains, ils furent généreux avec leur ville et leurs ouvriers « en finançant la construction de l’église Saint Etienne (1892) et pour les générations suivantes de l’équipe de football, les chamois (1925). Les bondieuseries et le foot, ceux qui me connaissent comprendront que je ne m’attarde pas plus.

Le 13 août j’appris d’où venait le nom de la rue de Niort la plus commerçante, la rue Ricard. Non ça ne vient pas de là ! Ça ne vient pas d’un apéro. La Nouvelle République m’informait qu’un Niortais fut avant Sarkozy, Hortefeux et Guéant premier flic de France. « Amable Ricard (1828-1876) se vit offrir le 9 mars 1876 le portefeuille de l’intérieur. Il n’eut pas le temps de profiter longtemps de son triomphe car il mourut brutalement en mai 1876. Avant de connaitre les honneurs cet avocat niortais républicain avait été cantonné dans un rôle d’opposant politique. Après le coup d’état de Napoléon III en 1851 il fut inscrit sur la liste des proscrits et même s’il échappa à l’exil il dut attendre le rétablissement de la  république, la IIIème le 4 septembre 1870, pour pouvoir jouer un rôle politique ; D’abord comme préfet des Deux-Sèvres, puis comme député, et vice-président de l’Assemblée Nationale puis brièvement comme Ministre de l’intérieur.  ».   

Pour le portrait suivant je n’ai pas de date mais comme j’ai un trou je le place vers le 15 ou 16 août....... Il s’agit de « René Gaillard le maire à la tendresse bougonne ». Je n’ai pas connu René Gaillard décédé le 28 décembre 1985 à 67 ans puisque je ne suis arrivé à Niort que fin août 1986, mais j’en ai tellement entendu parler que j’ai l’impression d’avoir très bien connu celui qui fut maire à partir de 1971, puis député en 1973.

Je vais raconter une anecdote que j’ai déjà mentionnée quelque part sur ce blog. En 1997 j’étais missionné pour trouver, lors d’un Conseil national du PS, des ‘’pointures’’ acceptant de venir à Niort  soutenir la campagne de Geneviève qui se lançait pour les législatives dans la 1ère  circonscription des Deux Sèvres. Timidement je m’approchais de Pierre Mauroy qui discutait avec quelqu’un que je connaissais. Comme ‘’pointure’’ on ne pouvait trouver mieux, et je lui dis en bafouillant un peu :

« Pierre, pourriez-vous venir à Niort pour donner un petit coup de pouce à notre candidate, Geneviève, la fille de René Gaillard ?»

Et lui de me répondre «Mon petit pour la fille de mon regretté René, je ferais le tour du monde

Ce qu’il fit (venir à Niort soutenir Geneviève) entre les deux tours malgré un agenda quelque peu embouteillé. 

Le billet suivant du 18 août n’a du intéresser que les vieux socialos niortais et d’ailleurs le journaliste s’excuse presque de l’avoir placé dans ce creux de l’été : « Raoul Auzaneau l’oublié du socialisme niortais, qui aurait pu devenir maire en succédant à Emile Bêche en 1971. Quelques bons esprits du monde des Mutuelles ont su lui faire comprendre qu’il devait s’effacer devant René Gaillard ce qu’il fit, semble t-il, sans broncher en bon militant. » Inutile d’en faire un roman….. Sauf à signaler que dans des temps plus récents ce fut un tantinet plus ‘’hard’’ les investitures,notamment en 1995. 

Avec la N.R. du samedi 20 août on abandonnait le milieu politique pour revenir avec Gaston Barré vers les techniciens talentueux ; un génie même sauf que lui « il a raté le coche de l’industrialisation. Il fut un constructeur réputé qui avait tout pour être l’équivalent d’un Louis Renault ou d’un André Citroën….. La réputation des voitures Barré a dépassé les frontières. Des limousines grand luxe jusqu’aux cabriolets. Au salon de l’auto à Paris en 1904 il présenta un modèle baptisé ‘’Tonneau’’. Des victoires aux courses et rallyes firent sa pub. Ce que Gaston Barré ne voit pas venir, c’est que l’ère du sur-mesure est révolue…. Il rate un virage stratégique. Erreur fatale, la crise de 29 précipita sa fin. A Niort un lycée des métiers de l’automobile porte son nom….. C’est mieux que rien.

Le mardi 23 août la N.R révélait que le personnage mystérieux de la veille était Jean Richard, ce que pratiquement tous les Jules, Maigret ou pas, avaient compris. « L’enfant de Bessines, à trois pas de Niort, a fréquenté l’école de Saint Florent, aujourd’hui un quartier de Niort dont le théâtre porte son nom. ». N’ayant été ni fan de l’acteur, ni amateur de cirque ou d’adaptation télévisée de Maigret j’en reste là.....

Jeudi 25 août, c’est une vraie gloire presque nationale qui nous est présentée dans «Ouvrez l’œil ». L’écrivain Ernest Pérochon (1885-1942), Prix Goncourt pour ‘’Nene’’ en 1921. « Lui dont le premier roman ‘’Les creux des maisons’’ parut en feuilleton dans ‘’l’Humanité’’ de Jaurès, ne cessa jamais de vivre hanté par les ‘’cherche-pain’’, les paysans réduits à la misère la plus radicale. Et jamais il ne quitta tout-à fait sa blouse d’instituteur, même quand la célébrité lui permit de vivre de sa main.  

En 1940 il refusa de collaborer avec la presse de Vichy. « Il ne va pas où ses idées le dissuadent d’aller….. Deux de ses romans furent interdits. Le 10 février 1942 il meurt brutalement d’une crise cardiaque ».

 Je ne suis pas passé à côté d’Ernest Perochon, dès mon arrivé à Niort j’ai lu ‘’Nène’’ puis ‘’Les creux des maisons’’, ‘’Les gardiennes’’, ‘’Le chemin de plaine’’, de bien beaux romans que je recommande chaudement. Je ferai prochainement un billet ‘’A livres ouverts’’ en hommage à ce grand écrivain pas assez connu hors région. 

La série « Ouvrez l’œil » se terminait en beauté le 27 août, avec un très grand monsieur, « Edmond Proust (1894-1956) commandant en chef, sous le nom de Chaumette, de la Résistance dans les Deux-Sèvres (nom de code sur Radio Londres ''Le tourteau fromager''). Il fut ensuite un grand patron anticapitaliste fondateur de la mutuelle la MAIF puis de la CAMIF…… »  

Voila la belle initiative de l’été 2011 de la Nouvelle République : Un personnage mystère tous les 2 ou 3 jours. Il y eut quand même quelques absents de marque.

Il est bien dommage qu’on n'ait pas inclu dans cette série le cinéaste Henri-Georges Clouzot né à Niort au 22 rue Victor Hugo en 1907 qui réalisa quelques chefs-d’œuvre du cinéma français comme ‘’Quai des orfèvres’’, ‘’Le salaire de la peur’’, ‘’Le Corbeau’’, ‘’Les diaboliques ‘’… Il faudra que je lui consacre un prochain billet « ciné-cure » .... mais pour être honnète je dois dire qu' il y eut dans la N.R. le 27 juillet dernier un très bel article sur Clouzot, « Le salaire du labeur : Primé à Cannes, nominé aux Oscars, le cinéaste niortais, 34 ans après sa disparition, récolte le fruit de son travail : il est un classique parmi les classiques... ». Mais pourquoi donc le brillant journaliste Yves Revert n'a-t-il  inclu ce billet dans la série ''Ouvrez l'oeil''. Avait-il égaré l'indice, le détail ou était-il en rupture de stock de guides touristiques ?  J'avais bien failli ne pas l'archiver....

J’eusse aimé aussi qu’on pense à quelques aventuriers. Notamment l’explorateur du Sahara et du Congo Jean Victor Largeau ou son fils Victor Emmanuel Largeau pacificateur du Tchad, puis général mort à Verdun et dont les cendres furent ramenées avec les honneurs nationaux au cimetière de Magné près de Niort. Un billet pour les deux n’eut pas été un luxe…..On aurait même pu y mentionner leur voisin René Caillié.  Heureusement pour mes lecteurs j’ai parlé des Largeau sur le blog.

Mais merci quand même à la N.R. c’était une très, très riche et belle idée.

 

(A suivre)

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F
Bravo pour le ''la famille Main liée...à la ganterie''. Si tu l'as fait exprès c'est bien recherché. Et ''Amable Ricard'', en voilà un prénom cocasse. Je pensais que ton doigt avait glissé sur le<br /> i. Mais non!C'est bien Amable. Continue à nous charmer, camarade.
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