Moments choisis....... Faits d'hiver
Certes il n’est pas encore terminé cet hiver au sens calendaire, il finira dans un peu plus de deux semaines mais selon les météorologues le printemps commence le 1er mars ; c’est plus sympa et moi j’aime mieux, surtout si la nature le confirme. Par contre je n’aime pas entendre dire qu’un beau noël doit être accompagné de flocons de neige ; il ne faut pas pousser car ce n’est que le tout début d’un hiver qui commence le 21 décembre comme en témoigne le calendrier que j’ai sous les yeux. Oui je sais, je ne suis pas très clair : d’un côté je prône la saison calendaire et d’un autre je retiens la saison météorologique. J’assume : je souhaite le moins d’hiver possible ! Même si je suis prêt à accepter quelques jours consécutifs de températures négatives, passage obligé pour avoir un beau jardin au printemps ; mais de préférence au milieu de la nuit.
En fait je n’ai pas trop à me plaindre parce que je vis à Niort et que finalement cet hiver ne fut guère plus sévère que les précédents, ou presque, et ce depuis 32 ans que je suis là, débarqué d’Afrique, en terre alors inconnue si je ne tiens pas compte pas de quelques semaines de colonies de vacances à l’ile de Ré, il y a très, très longtemps, quand j’avais 12 à 14 ans … et toujours en été.
Je consulte mon agenda pour ce début d’année : il y eut un épisode neigeux le 6 février en fin de matinée, juste après le passage annuel du ramoneur qui me confirmait que ma cheminée était apte à fonctionner et avec juste le temps de rentrer un peu de bois pour faire du feu en chauffage d'appoint. La neige a tenu au sol l’après-midi et la nuit avant de disparaître progressivement le lendemain matin….. La nature fut sympa avec nous car le jour d'après, en soirée, nous nous trouvions rassemblés, avec quelques amis, autour d’un superbe pot au feu chez Gégé. Je n’aurais pas aimé devoir faire le chemin de retour avec une route verglacée. Quand je pense à tous nos compatriotes nordiques coincés dans la neige et notamment les naufragés de la RN 118……..
Mais j’ai, quand même, eu une petite frayeur le 28 février à savoir que l’hiver risquait de dépasser les bornes en empiétant sur mars ; un scandale ! Le journal régional, la Nouvelle République version départementale annonçait le pire : « Les Deux-Sèvres dans le grand froid ». En lisant ce titre j'entendais la voix de Michel Galabru évoquer le grand nord dans un film que je n'ai pas voulu voir mais dont on m'a imposé, à l'insu de mon plein gré, des extraits. Je ne voulais pas y croire …. et j’eus raison ! Certes, il y a bien eu une alerte aux flocons vers 17 h alors que j’étais au club de bridge. Inquiet je suis rentré à la maison le plus vite possible pour constater que la neige commençait à tenir au sol….. Le lendemain matin, au réveil la pelouse du jardin était recouverte d’une mince couche blanche, mais quand je suis sorti récupérer le journal daté du 1er mars dans la boite à lettre, j’ai pu constater, à défaut d'un mea culpa de la N.R., qu’il ne faisait plus si froid que ça ; Le réchauffement s’amorçait…. A midi toute la neige du voisinage avait fondu et nous étions déjà presque au printemps. Le froid sibérien n’avait pu nous atteindre du moins nous, à Niort, car dans le reste du pays c’était une autre histoire :
A Aurillac chez ma sœur, ce qui n’était pas très étonnant, mais aussi à Nice chez mon frère et là c’était plus surprenant. En voyant à la télévision les images hivernales du reste de la France je compris que nous étions une heureuse exception, mais il ne faut pas le crier sur les toits car nous risquerions d'être envahis l'hiver prochain par des caravanes de retraités qui, cette année, ont trouvé de la neige au Pays Basque, en Espagne, au Portugal et me dit-on du côté de Tanger (???). Les actualités s’attardaient surtout sur le cas de Montpellier, une ville que je connais bien, et j’ai appelé mon très cher ami Jean-François. Il m’avoua avoir été un peu surpris par cette vague de froid et de neige peu coutumière mais en estimant que les journalistes en faisaient un peu trop. « On a un truc de ce genre là tous les 25 ans mais on ne va pas quand même pas dépenser des fortunes pour se munir de matériels comme les canadiens ou scandinaves. On va attendre que ça fonde tout en déblayant le trottoir devant chez nous. Il vaut mieux investir dans des avions canadairs pour lutter contre les incendies dévastateurs qui reviennent tous les étés »
A Niort notre hiver fut finalement très banal : humide en janvier, froid en février. Pour la période des fêtes nous avons pu réunir chaleureusement tous nos enfants et petits enfants et faire ainsi une belle photo de la tribu…. Même s’il fallut encore adapter nos repas de fêtes aux obligations des unes et autres familles grand-parentales et au calendrier de notre fils ainé, le parisien. Un repas de Noël le samedi 24 décembre à midi et un réveillon de jour de l’an, encore un midi le vendredi 29 décembre : au diable le calendrier. Ce fut un grand bonheur d’avoir tous les enfants réunis dans la bonne humeur et tant pis si nous avons, Pilou et moi, passé le réveillon de la St Sylvestre en tête à tête et avec des vidéos.
Les premiers jours de janvier furent consacrés à adresser nos meilleurs vœux pour la nouvelle année soit par rencontres pour les amis niortais, ou par téléphone pour la famille et proches, géographiquement éloignés, et par mail ou face book pour d’autres copains, vieux amis, ou plus récents rencontrés lors de voyages, sans oublier les cousins d'Espagne. Pour les amis niortais nous avons profité d'une balade dominicale des marcheurs de Goise à la vallée du diable près du château de Coudray Salbard pour distribuer un max de bises et vœux de bonne année avant d'entreprendre une très agréable balade d'une douzaine de kilomètres par un beau temps sec, sans vent et très ensoleillé. L'hiver comme je l'aime....
Je suis allé souhaiter une bonne année à Alfred, mon vieil ami (92 ans) qui vient de passer près de deux mois d’hospitalisions pour lutter contre une sérieuse attaque bactériologique au pied qui a fait craindre le pire et qui se régla par l’amputation du gros orteil. Pendant toute cette période je rendis régulièrement visite au vieux colosse avec à chaque fois de bien belles conversations. J’ai déjà parlé d'Alfred sur ce blog pour évoquer son engagement dans la résistance... En allant le voir le 3 janvier j’ai pu faire la connaissance de son fils qui vit à Belfort…. bien loin de Niort. De cette rencontre est survenu un souvenir lointain, un ami commun qui pour ce qui me concerne remonte à la construction du barrage de Michelbach (1980/82) ; un souvenir qui me semble trop lointain pour reprendre contact du moins à mon initiative, mais j'adore ces hasards de la vie.
Nous sommes aussi allés voir, à son invitation, Annie une amie qui devait partir au Costa Rica le 15 janvier et qui avait besoin de quelques informations complémentaires. Mes billets de blog lui furent manifestement très utiles et nous devons nous revoir très prochainement pour qu’elle nous fasse le bilan de ce voyage.
Pour la chandeleur, du moins le dimanche suivant, nous fumes invités à partager les crêpes et le cidre entre voisins ; sympathique initiative.
Et puis il y eut les retrouvailles des anciens du Cameroun : ce fut d’abord Jean l’agenais qui devait séjourner quelques jours chez sa fille à Poitiers pour s’occuper de ses petits-enfants hors horaires scolaires. Nous nous sommes retrouvés le 18 janvier dans un restaurant à Lusignan, presque à mi-chemin entre Poitiers et Niort. Nous sommes restés plus de trois heures à table à discuter de tout et de rien comme de beaux souvenirs lointains. Ca devait faire 7 ou 8 ans qu'on ne s’était pas vu. On a aussi refait le monde et un peu l’élection présidentielle française. Nous avions voté pour le même au second tour pour éviter la pire, mais nous n‘avions pas voté pour le même au premier tour. Et je découvrais alors que mon vieux pote était maintenant plus à gauche que moi….. J’en ai oublié de laisser un pourboire à la serveuse qui avait longuement patienté que nous, les derniers clients, quittions enfin notre table. J’en ai encore des regrets !
Cinq semaines plus tard nous retrouvions le troisième compère de l'époque Camerounaise Gérald notre ancien chef de mission. Tous les trois nous étions restés en contacts téléphoniques notamment en début d’année. J’ai un parfait repère de notre dernière et fugace rencontre c‘était le 17 mai 2003 en soirée à la sortie d’un restaurant à Dijon. Gerald et Nicole étaient avec des amis et moi j’étais délégué au congrès du PS qui se tenait ce week-end là. Pilou m’accompagnait et c’était la première fois que nous venions à Dijon ; Gerald et Nicole aussi ! Nous n’avons pu papoter que quelques minutes mais le côté incroyable de cette rencontre a contribué à ce que l’on ne se perde jamais de vue de téléphone tout en se jurant chaque année de se voir. Cette fois j’ai pris l’initiative de l’engagement en fixant un jour approximatif à savoir assez proche de l’anniversaire de notre petit-fils Gabriel. Nous sommes montés à Paris du 23 au 27 février, trois jours chez notre fils et une journée, de 11h à 18 h chez Gérald et Nicole. Une journée mémorable à ressasser des souvenirs, à se rappeler de personnes que nous avions un peu oubliées : Nous leur avons donné des nouvelles d'autres amis communs que nous voyons encore régulièrement, J.P et Clau de Toulouse et Pierre et Maguy de Nantes! Quel bonheur de retrouver ses amis d'expatriation qui firent un peu office de famille pendant quelques années !
Je dois aussi parler des trois jours passés chez Eric, évoquer les progrès de Lucie au piano et les débuts de Gaby. Ah Gaby ! Gabriel qui, à 8 ans, m'a battu aux échecs, par traitrise, en me lançant un défit d'une partie sur tablette. Je déteste les tablettes ! Il m'a fait le coup du berger et en 3 ou 4 coups il m'a bouffé ma reine que j'avais déshabillée de toute protection. Non je ne l'ai pas laissé gagner pour son anniversaire ! C'est le premier de mes petits enfants à me battre. Les plus grands ne veulent plus jouer les ingrats...... ni même m'accompagner au bowling les derniers domaines où je peux encore un peu frimer. Je ne dois quand même pas oublier Thomas dont nous fêtions avec quelques jours de retard le 14ème anniversaire le samedi 27 janvier, en compagnie de ses autres grands parents fiers, comme nous, de ses très bons résultats scolaires
Je crois avoir fait le tour des faits de l'hiver 2018 et d'ailleurs nous avons entrepris le gros travail de fin d'hiver d'élaguer les haies et arbres. Je dis nous car j'ai embauché un jeune pour me donner un coup de main. Je vais le rémunérer par des chèques emploi-services qui permettent de lutter contre le chômage tout en permettant une déduction fiscale qui pourrait être très utile au regard de l'abrogation de la taxe d'habitation et dans la crainte que Macron ne lance le bouchon un peu loin dans la baisse de pouvoir d'achat des retraités. Ceci dit aujourd'hui n'était peut-être pas le jour idéal pour commencer ces grands travaux parce qu'il a beaucoup plu, ce qui veut dire que le jeune homme a quasiment du travailler tout seul, accompagné par mes encouragements et conseils de la véranda ou du garage..... Je ferai peut-être mieux aujourd'hui, si la météo le veut bien. Si ce n'est pas possible je ferai du vélo d'appartement pour garder la ligne.... et de toute façon il m'en restera encore beaucoup à faire au delà de ces deux jours de contrat comme de tondre la pelouse quand Phébus le voudra bien.
Un petit mot nécessaire sur le cinéma car l'hiver est une saison faste pour voir de bons films, une saison moins riche que l'automne ou du moins la fin d'année, Césars et Oscars obligent. Voici donc quelques films que j'ai vus cet hiver:
Juste avant Noël, « Le brio » d’Yvan Attal avec Daniel Auteuil et l’excellente Camélia Jordana, « Le sens de la fête » d’Eric Toledano et Olivier Nakache avec Jean Pierre Bacri, inégalable grincheux.
Entre Noël et Jour de l’an « Wonder » de Stephen Chbosky avec Julia Roberts et un talentueux jeune acteur Jacob Tremblay.
En Janvier « Les promesses de l'aube » d’Eric Barbier avec une admirable Charlotte Gainsbourg et un bon Pierre Niney, le décevant « Tout l'argent du monde » de Ridley Scott, « L’échappée belle » de Paolo Virzi avec les merveilleux vieux, Helène Mirren et Donald Sutherland ; une très agréable surprise vue un peu par hasard (en remplacement d'un autre initialement retenu mais qui était en V.O anglaise ), « El presidente » de Santiago Miltre avec Ricardo Darin en V.O. espagnole, un thriller politique comme je les aime, « Three bilboards » de Martin McDonagh avec la fantastique Frances McDormand. » « Pentagone Papers » un bon film historique de Steven Spielberg avec Meryl Streep et Tom Hank que j’ai malheureusement vu en V.O. anglaise alors qu’il était annoncé en V.F et comme c’est un film très bavard il me faudra le revoir en french dès qu’il sortira en vidéo.
En février « Downdizzing » un film d’Alexander Payne avec Matt Damon que j’aurai du éviter. J’ai suivi les critiques de Studio et Première, des magazines qui n’en sortent pas grandis. D’ailleurs Studio n’existe plus, racheté par Première en ce début d'année, cette disparition je la regrette ; j’en parlerai dans un prochain billet. « Jusqu'à la garde » un très beau et touchant film de Xavier Legrand avec Léa Drucker. Enfin, en séance de rattrapage, j’ai pu voir en version française « Les heures sombres » un excellent film historique de Joe Wright avec l’incroyable Gary Oldman dans le rôle de Winston Churchill.
Heureusement que j’ai fait cette rubrique cinéma ça m’a rappelé que je voulais parler d’un fait important qui nous est arrivé cet hiver….. Et ça veut dire que ce billet est loin d’être fini. Je fais moins de billets mais quand j’en fais un, il y a du contenu….
Cette mésaventure nous est arrivée mi-janvier : ce jour-là je voulais aller voir, enfin en V.F., le film sur Churchill au CGR en début d’après-midi. Comme je demandai à Pilou si elle souhaitait m'accompagner, elle me rappela que nous étions invités à une présentation de divers matériels de magnétothérapie qui faisaient des miracles pour soigner de très nombreuses pathologies. Après l’avoir remercié de me rappeler un engagement dont je n’avais jamais entendu parler, j’ai accepté, en bon diplomate, de l’accompagner. La présentation commençait à 15 h et quand nous sommes arrivés la salle était déjà remplie de retraités bien sages ; plus d'une cinquantaine de personnes dont certaines que nous connaissions de vue. Un médecin naturopathe animait avec talent la présentation des matériels et leur utilité en faisant participer les spectateurs dans une ambiance sympathique. J’étais toujours furieux de perdre mon temps et j’étais de plus en plus convaincu, en raison du talent du bonimenteur de service, que ça sentait l’arnaque…… mais au bout de quelques deux heures de démonstrations et d’expériences sur des volontaires qui avaient divers problèmes d’arthrose, de rhumatismes, voire plus, je commençais à être quelque peu ébranlé.… Et puis quand les démonstrations ont concerné les problèmes de sommeil, alors là, moi qui ne dors tout au plus que 5 heures par nuit, voire beaucoup moins, et ce malgré la prise de quelques pilules à base de plantes, je me sentais pleinement concerné ; je fendais soudain l’armure du grincheux ! Nous nous approchions alors des 4 heures de baratin et de démonstrations quand les organisateurs demandèrent aux gens qui n’avaient pas du tout l’intention d’acheter du matériel, de quitter la salle en partant avec un petit cadeau de remerciement, une tablette plutôt sommaire. Les 2/3 des spectateurs s’en allèrent. Pilou se serait plutôt rangée dans ce lot : le spectacle lui avait plu et elle avait trouvé intéressantes les informations, explications et démonstrations. Moi je voulais en savoir plus, surtout pour ce qui concerne le sommeil. Problème le lot vendu ne se décomposait pas c’était la totale ou rien ; sans doute des soldes ou un vide grenier d’hôpital. Pilou trouvait que c’était beaucoup trop cher, mais moi j’étais tenté, d’autant qu’on pouvait marchander un tout petit peu …. Et malheureusement, et c'est rare, j’ai fini par l'emporter ; c’est important le sommeil ! Et s’il faut y mettre le prix….. ( ??)….
Nous sommes rentrés à la maison vers 20 h 30 avec le matériel thérapeutique plus quelques cadeaux parfaitement "inutiles" qui sentaient bon l’arnaque. J’ai commencé à me poser des questions au milieu de la nuit….. Pilou n’a guère mieux dormi. Au réveil quelque peu honteux nous fîmes des recherches sur internet où nous trouvions des infos sur des cas comparables peu rassurantes. Pouvions-nous, pour ce type de vente, faire jouer le droit de rétractation ? Un copain contacté, militant de l'UFC, nous confirma que oui ! Après une journée d’affolement nous avons pu joindre les vendeurs qui ne firent pas vraiment objection à reprendre le matériel mais il fallait le ramener au siège de la société où nos chèques nous seraient alors rendus. Le lendemain nous faisions l’aller retour à Nantes où tout s’est bien passé. Le patron de la société nous a reçus très aimablement et les échanges furent effectués. Il m’a même présenté un matelas de sa prochaine collection, cette fois ce n’était pas une alèse magnétisée mais un vrai beau matelas massant pour 1500 euros pour un seul article, sans compléments inutiles…. Waouh ! Ça pourrait le faire….. Mais on verra plus tard, bien plus tard…. ou jamais…. Après tout ce n’est pas si désagréable d’être devant son ordinateur à 5 h du mat et écrire pour le blog.
De retour à la réalité de la vie quotidienne "macronisée" pour les retraités, nous nous sommes retrouvés, quelques jours plus tard, invités chez notre ami militant de l'UFC et le sujet est forcément revenu sur la table autour de laquelle il y avait aussi d’autres amis. J’ai du assumer, toute honte bue, la responsabilité de la mésaventure, atténuant le fait que c’est Pilou qui m’avait entraîné dans cette galère…..
Bon heureusement qu’il y avait aussi le rugby comme sujet important de discution, l’éviction honteuse de Noves remplacé par Brunel et un nouveau XV de France qui n’avait guère été brillant face à l’Irlande, même si le match n’avait basculé qu’à la dernière minute. Le lendemain de cette soirée se jouait Écosse-France et je le sentais mal ce match et j’avais bien raison. Le tournoi n’est pas fini, il reste à faire les matchs de mars, les matchs " météorologiquement " printaniers…. Mais je n’y crois pas trop. ( ????). Heureusement que j'ai quand même pu me consoler en voyant un magnifique match, Ecosse-Angleterre. J'adore quand les rosbifs prennent une branlée. J'espère que les français feront de même à la fin de la semaine. Si ce n'est pas le cas je dirai que c'est la faute à Laporte.
Voila c'est fini ! J'ai mis 3 jours à faire ce billet, un peu trop long. Je dois encore mentionner le gros boulot fait par Pilou pour numériser tous nos vieux films en super huit pour pouvoir les montrer à nos petits enfants sur le poste de télévision, rafraichis et débarrassés des scories. Un gros succès !
Reprise du billet le 20 mars, 1er jour du Printemps calendaire: hier l'hiver se voulait revanchard avec le retour de la neige à gros flocons, pendant deux heures en fin d'après midi de un tournoi au club de bridge. Mais la température n'était pas négative et la neige ne tenait que sur les pelouses. Le lendemain matin une photo prise à 9 h confirme que l'hiver a définitivement la bataille sur Niort.
Je profite de ce retour sur le billet pour dire que nous avons eu le plaisir de déjeuner le samedi 17 mars avec nos bon amis Liliane et Alain, de passage par Niort à mi-chemin entre Toulouse et la Normandie. Nous ne nous étions pas vu depuis un peu plus de deux ans. Nous sommes amis depuis 1976, du temps d'un chantier de barrage au Maroc.