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Histoire de rôle .... Alexandre le Grand, le conquérant absolu

27 Mars 2020 , Rédigé par niduab Publié dans #Histoire de rôles

L'avènement d'Alexandre le Grand transforma profondément le monde antique, et en particulier le paysage de la Grèce de la période classique. Outrepassant les rivalités et les conflits qui divisaient les cités grecques, le jeune monarque étendit son pouvoir de sa Macédoine natale à l'ensemble du Proche-Orient en quelques années seulement. A la tête de troupes aguerries, il conquit l'immense territoire, auparavant sous domination perse, qui s'étendait de l'Égypte jusqu'au nord de l'Inde, et y propagea la culture hellénique.......

 

Fils de Philippe II et d'Olympiade, fille du roi des Molosses d'Épire, Alexandre naquit à Pella en Macédoine, en 356 av. J.-C.

Plutarque indique que dès sa plus tendre enfance, Alexandre se distinguait par son sérieux et sa retenue. Il possédait une résistance physique et une puissance exceptionnelle et une force de caractère encore plus rare. Ce sont d'ailleurs ces qualités qui lui permirent à tout juste 14 ans de dompter un cheval sauvage qu'il nomma Bucéphale et qui devint son compagnon inséparable.

Philippe II se préoccupa très tôt de l'éducation de son héritier et en 343 av. J.-C. il convoqua à la cour de Pela le grand philosophe Aristote, le plus sage d'entre tous les sages et il lui confia la garde et l'éducation de son fils.

En dehors de la grande admiration qu'il inspirait à son élève, comme en témoigne leur correspondance, Aristote parvint également à lui transmettre l'amour de la poésie. Au cours de toute la durée de sa campagne, il ne cessa de lire les trois grands tragiques Eschyle, Sophocle et Euripide. Il conservait en outre toujours sous son oreiller un exemplaire de « l’Iliade » d'Homère car il avait trouvé le héros auquel il souhaitait ressembler, Achille.

La bravoure et le talent militaire d'Alexandre le Grand  se révélèrent très tôt, lors de la bataille

de Chéronée en 338 av. J.-C. Les incursions des troupes macédoniennes en Grèce centrale et l'insatiable ambition de Philippe II irritaient les Athéniens --aiguillonnées par le grand orateur

Démosthène-- et les Thébains. Ils lui déclarèrent la guerre en 339 av. J.-C. Leurs armées réunies affrontèrent les troupes macédoniennes. Les Athéniens et les Thébains considéraient cette bataille comme décisive pour la liberté des cités grecques. Les deux camps composés d'environ 30.000 hommes chacun. L'affrontement entre les infanteries s'avéra terrible. Le combat bascula lorsque la cavalerie macédonienne, dirigée par le jeune et intrépide Alexandre attaqua le flanc droit des lignes grecques. Cette offensive détermina l'issue de la bataille  -- au cours de laquelle nombre d'Athéniens et thébains furent tués ou faits prisonniers -- et couvrit de gloire le vaillant Alexandre, alors âgé de dix-huit ans. Philippe II se montre magnanime envers les vaincus et n'exerça pas représailles trop dures contre les cités d'Athènes et de Thèbes. La victoire démontrait la supériorité de la Macédoine par rapport aux deux poleis, alors cités les plus puissantes de Grèce. Les Grecs se réunirent à Corinthe, à la demande de Philippe II pour négocier un accord de paix commun : en cas de guerre contre une puissance étrangère, le commandement des troupes revenait au monarque macédonien en tant que hégémon, c'est à dire général en chef.

Cette union avait depuis longtemps ses partisans qui réclamaient « Vengeance et Liberté.» Vengeance contre les Perses qui avaient envahi la Grèce et détruit ses temples. Liberté pour les îles et les populations hellènes soumises et asservies aux Perses par la paix conclues en 386 av. J.C. Bénéficiant d'un soutien politique fort, Philippe II avait désormais les mains libres pour traverser l'Hellespont et étendre son empire en Asie. Au début de l'année suivante, il ordonna l'envol l'envoi en Asie Mineure de troupes de reconnaissance de près de 10.000 hommes commandées..... Mais lui-même ne traversa pas l'Hellespont. Au cours de l'été 336 av. J.C. Philippe II fut assassiné à Aigai en Macédoine dans un contexte de différent familial. Alexandre avait alors vingt ans. Ses opposants où éventuels prétendants au trône furent rapidement éliminés et Alexandre proclamé roi devant les troupes conformément à la tradition. Et assuma immédiatement le pouvoir avec la détermination ferme et rapide qui le caractérisait.

Laissant derrière lui, son homme de confiance, le stratège Antipatros, à la tête de la Macédoine, Alexandre partit avec une infanterie de 30.000 hommes et avec 5000 cavaliers, à la conquête du monde. Il mit immédiatement en application son plan de neutraliser d'abord tous les rivages méditerranéens perses pour empêcher toute intervention de la flotte Perse nettement plus importante que la flotte grecque. Au printemps de l'an 334 av. J.-C. alors qu'il traversait l'Hellespont, sans rencontrer de résistance majeure de la part des Perses. Alexandre se rendit à Troie, où il déposa une couronne de fleurs sur la tombe d'Achille.

Le premier affrontement eut lieu sur le fleuve Granique, vers la fin mai de l'an 334 av.- J.C. et il se solda par la défaite des Perses. Pendant l'hiver, il avança en Lycie et en Pamphylie, au sud de l'Asie Mineur, et parvins plus au nord jusqu'à Gardion, capitale de la Phrygie. C'est à cet épisode que l'on doit l'expression Trancher le nœud gordien, rattachée à une légende. A la fin de l'hiver Alexandre reçut des renforts de Macédoine. Il poursuivit sa progression vers la Cilicie sans rencontrer de résistance, traversa la Cappadoce et les monts Taurus, puis continuer d'avancer dans la plaine et sur la côte méridionale.

Le grand roi Darius décida alors de mener en personne son armée au combat. Il convoqua le gros de ses troupes à Babylone pour marcher contre l'envahisseur. La stratégie, qu'il mit en œuvre se résumait à lever une armée beaucoup plus nombreuse que celle d'Alexandre. Par orgueil, il n'écouta pas les conseils qui lui recommandaient de patienter et d'attendre l'affrontement au centre de son royaume. Il décida de précipiter le combat et se mit en marche à la tête de ses troupes en direction de la côte méditerranéenne où la bataille eut lieu près d'Issos au bord du fleuve Pinaros. Au début du combat la cavalerie perse obligea les phalanges macédoniennes à reculer de l'autre côté du fleuve, mais Alexandre réussit la manœuvre tactique qu'il avait planifié : avec sa cavalerie il ouvrit une brèche dans les rangs ennemis et se rabattit vers le centre du champ de bataille. L'assaut déborda Darius et son escorte. Paniqué, le grand roi prit la fuite sur son char, abandonnant sur place une partie de ses son armée qui se dispersa en désordre mais aussi son équipement d'accompagnement, bagage, argent, trésor de guerre et sa famille qu'Alexandre traita de manière royale comme le mentionne l'écrivain Arrien.

Poursuivant sa marche effrénée et victorieuse, Alexandre arrivait en Phénicie et s'emparait des villes de Sidon, Biblos, Gaza, Tyr et de toute la flotte phénicienne. Il entre en Palestine et en Égypte, où il fut accueillit très chaleureusement par des Égyptiens qui avaient beaucoup souffert de l'envahisseur perse. Après un court séjour à Memphis, capitale du delta du Nil, Alexandre navigua jusqu'à l'embouchure du fleuve. Sur la côte en face de l'île de Pharos il ordonna la fondation d'une cité à laquelle il donna son nom Alexandrie. Le site magnifique offrait deux entrées naturelles de part et d'autres de l'île, idéales pour les manœuvres des bateaux grecs. Au cours des années qui suivirent la ville devint un important port commercial, la métropole du royaume des Lagides et l'une des citées les plus renommé de l'Antiquité. Alexandre fit ensuite route à travers le désert Lybien pour aller consulter l'oracle du sanctuaire du dieu Ammon dans l'oasis de Siwa. Au cours d'une curieuse cérémonie un prêtre le salua comme le fils du dieu Ammon et lui prédit une destinée de conquérant invincible du monde. Satisfait de la révélation de sa filiation divine et de son extraordinaire destin, Alexandre passa encore quelques mois à Memphis. Il participa aux cérémonies en l'honneur des dieux locaux et fut couronné pharaon et acclamé. Après la campagne de Phénicie et avant de repartir à la conquête de l'Empire perse, ce séjour dans cette Égypte qui fascinait les Grecs par ses monuments sans égal et son ancestrale sagesse fut d'agrément. Alexandre n'y revint pas de son vivant mais, neuf ans plus tard, la ville de ses rêves, Alexandrie devait accueillir sa dépouille.

Après avoir traversé la Syrie, il revenait au cœur de l'empire perse. Darius avait bien fait des propositions de paix, du partage de l'Empire et même d'un mariage avec l'une de ses filles. Mais elles furent rejetées par Alexandre. Darius III avait eu le temps de lever une immense armée pour livrer la bataille sur les rives du Tigre. A l'aube du 1er octobre de l'an 331 av. J.C. les Macédoniens lancèrent l'assaut contre les forces perse dans la plaine de Gaugamèles. La bataille fut décisive et pour Darius III le prix de la défaite fut élevé. Les pertes humaines colossales rendaient la réorganisation de l'armée impossible. Les jours suivants la reddition des satrapes de Babylone et de Suse et leur maintien à leur poste par Alexandre fragilisèrent un peu plus Darius, tout en marquant le début du processus d'hellénisation.

Les sorts différents réservés aux grandes cités perses soumises par les Macédoniens révèlent, non les caprices du conquérant mais sa volonté de mener des actions hautement symbolique. Elles faisaient écho à l'histoire grecque et se conformait à l'idée qu'Alexandre se faisait de sa propre origine divine mais également de sa grande destinée.

Persépolis se rendit également sans combattre, mais Alexandre avait décidé de lui infliger un châtiment exemplaire car elle était le symbole de suprématie perse. La cité abritait le palais de Darius Ier et de Xerxès, monarques qui au cours des guerres médiques avait pénétré dans le temple d'Athènes, sacrilèges inoubliables pour les Grecs. Le sac de Persépolis fut aussi impitoyables que celui de Tyr, Babylone et Suse furent épargnées et leurs satrapes reconduit à leur poste, de même que tous les aristocrates, courtisans et administrateurs de l'Empire qui avaient remis leur pouvoir à Alexandre, le reconnaissant et acceptaient son autorité. Alexandre réussit de cette façon à intégrer les Perses dans son administration et son armée pour mener à bien son grand projet : la conquête de toute l'Asie.

De plus en plus exalté par le rêve d'un empire mondial, Alexandre le Grand était décidé de conquérir Les Indes, mais lui fallut d'abord faire des temps de pause pour consolider son armée. A Echatane où il arriva en juin de l'an 330 av. J.-C. il fit une halte. Les 40.000 hommes de son armée, avaient pour la plupart quitté Pella depuis quatre ans. Certains étaient fatigués par cette interminable expédition, d'autres, notamment les mercenaires grecs et thessaliens, estimaient l'objectif atteint. Alexandre leur offrit de regagner leur contrée assortis d'une solde généreuse en récompense des services fournis. Démobilisés, ils furent reconduits jusqu'aux rives de la mer Noire ou de la mer Egée et de là gagnèrent l'Eubée ou la Macédoine. Le reste des troupes profita aussi de repos avant de partir, sous les ordres de Parménion, pour l'Hyrcanie su sud-est de la mer Caspienne. Quant à Alexandre, accompagné de ses hétairoi il parti pour Rayy (près de l'actuel Téhéran.) où il savait pouvoir trouvé le roi déchu Darius III. Mais quand il arriva Darius était mort, assassiné par un satrape qui s'était emparé de la tiare royale. Alexandre ordonna qu'il soit enterré aux côtés des autres rois perses avec les honneurs dus à son rang. Le cadavre fut embaumé et transporté à Nacqshe près de Persépolis. Le cérémonial qui entoura ces obsèques eut une grande portée symbolique. Alexandre qui avait adopté les coutumes, le costume, le cérémonial pouvait se considérer le successeur du Grand Roi, son vainqueur et son héritier. De plus Alexandre incorpora dans son armée grand nombre de combattants perses et parthes. Si les sujets asiatiques appréciaient le respect du cérémonial perse, les vétérans macédoniens, ses plus proches compagnons, l'acceptaient mal.

Callisthène, neveu d'Aristote, se fit le porte-parole de la protestation macédonienne et parvint à faire céder Alexandre qui, cependant, n'oublia pas l'offense

Ce fut le temps des désaccords et des conspirations : la première en 330 av. J.-C. fut menée par un membre de la garde personnelle d'Alexandre tous ses complices furent arrêtés et exécuté dont Philotas qui commandait la cavalerie d'élite des hétairoi. Parmi les aristocrates macédoniens, il occupait le rang le plus élevé et le plus prestigieux après son père Parménion. Il y eut d'autres soldats exécutés et d'autres conjurations qui échouèrent dont une en 327 av. J.-C. qui permis à Alexandre de se débarrasser de Callisthène accusé d'avoir inspiré le complot.

Pendant cette période conflictuelle avec ses compagnons Alexandre poursuivi sa progression et soumit les hautes terres au nord est de L'Empire. Il explora d'abord régions d'Arie, de Drangiane et d'Arachosie (actuel Afghanistan) Il parcourut ensuite les contrées montagneuses de Bactriane et de Sogdiane. Pendant plus de deux ans il dut affronter des peuples aguerris, traverser des terres inhospitalières, franchir la cordillère de Hindu Kush, aux imposants sommets enneigés et prendre d'assaut des forteresses inexpugnables. Tout au long de sa route il fonda de nombreuses villes presque toutes nommées Alexandrie: Alexandrie d'Arachosie (actuelle Kandahar), Alexandrie du Caucase (actuelle Kaboul) etc...

De la région du Parapamisos ( l'Hindu Kusch) où il rassembla ses troupes, Alexandre s'apprêta à partir, au printemps 327 av. J.-C. en direction de du nord de l'Inde (l'actuel Pakistan) et pensait ainsi pouvoir étendre son empire asiatique. C'est à cette époque qu'Alexandre épousa Roxane, une très belle femme fille d'un grand chef sogdien. Il reprit sa route vers l'est pour soumettre avec une rigueur les tribus belliqueuses qu'il rencontrait. Certains rois se soumirent, d'autres luttèrent jusqu'à la défaite. De l'autre côté de la rivière Hydaspe une armée nombreuse attendait sous les ordres de Poros. Le redoutable rajah du pays Paurava, disposait de plus de 50.000 guerriers, 300 éléphants et 200 chars, prêts à livrer bataille. Il se révéla un rude et vaillant adversaire, mais en brillant stratège, Alexandre conduisit une nouvelle fois ses troupes à la victoire. Cette dernière grande bataille rangée de l'invincible armée macédonienne se déroula en juin 326 av. J.-C. Sur le lieu de la bataille Alexandre fonda une cité baptisée Nicée. Plus loin, de l'autre côté de la rivière il fonda une autre ville, Bucéphalie, en souvenir de son fougueux cheval mort en ce lieu.

En août 326 av. J.C. Alexandre atteignait les rives de l'Hyphase, la plus orientale des rivières du Pendjab. Il sut qu'il n'était pas encore arrivé aux confins de l'Asie. Au delà du fleuve il y avait un désert et probablement une grande distance avant d'atteindre le Gange fleuve sacré et beaucoup de royaumes avec des armées puissantes, avec des éléphants, à combattre. Les troupes macédoniennes de son armée refusaient de poursuivre, épuisées par huit ans de campagne au cours desquels ils avaient parcourus 20.000 kilomètres.

Alexandre leur reprocha leur défiance, blâma leur manque d'audace et les défia...Mais la rébellion ne céda pas. Alexandre se retira trois jours sous sa tente....puis il sorti et décida d'entreprendre le retour si désiré. En janvier 325 av. J-C. Alexandre s'établi à Pattala, capitale du delta de l'Indus. De là il organisa le retour de son armée à Babylone. Il répartit ses troupes en trois expéditions. Les voyages de retour furent des aventures courageuses, téméraires et désastreuses. En automne 324 av. J.-C. Héphestion le plus fidèle ami d'Alexandre, tomba malade et mourut au bout d'une semaine. Son décès soudain fut un choc pour Alexandre. Fin mai 323 av. J.-C. Alexandre tomba malade à son tour et mourut le 10 juin. Pour certains il serait mort de maladie, paludisme ou typhus, pour d'autres comme Plutarque il aurait été empoisonné. Alexandre n'avait laissé aucune consigne se croyant sans doute invincible.

L'empire d'Alexandre ne devait pas survivre à son fondateur. L'immense territoire à l'unité éphémère fut partagé dès 323 av. J.C. entre les diadoques et généraux d'Alexandre.

Histoire de rôle .... Alexandre le Grand, le conquérant absolu

Quelques remarques concernant cet article : 

 

1/ Ancien ingénieur du B.T.P je profite de ma retraite pour faire mes universités dans les domaines que j'aime et notamment en histoire. Cela veut aussi  dire que j'ai besoin de documentation dont je précise ci après les sources:

 

2/ J'ai écrit cet article en empruntant des paragraphes ou extraits plus ou moins réduits pour retenir l'essentiel sans être trop long. Deux livres m'ont particulièrement aidé, il s'agit du tome 9 «L'empire d'Alexandre » de la collection, en 30 volumes, Histoire & civilisations et de l'ouvrage de Georgios  Papadogeorgos « Grèce antique, hommes illustres, leur vie et œuvre ». Quelques parties de cet article ne sont pas colorées en bleu ou violet et sont donc soit mon adaptation de paragraphes très longs soit quelques trouvailles sur Wikipedia.

J'ai aussi acheté (10 €) en début de cette année un magazine « Histoire et civilisation » titré « Alexandre le Grand le conquérant absolu », pensant y trouvé une nouvelle version moins dense. Je l'ai acheté et  ne le regrette pas car il m'a permis de trouver un bon titre pour mon article et la possibilité de scanner plus facilement quelques images... à part ça rien de nouveau par rapport au tome 9. Je me dis aussi que s’il est toujours en kiosque ça pourrait peut-être intéresser quelques lecteurs decet article.

 

3/ Il y a quelques semaines j'ai revu en DVD un film que j'avais quelque peu oublié c'est « L'homme qui voulut être roi avec roi » avec Sean Connery et Michael Caine, un film tiré d'une nouvelle de Rudyard Kipling et je fus surpris de voir et comprendre une analogie avec l'épopée indienne d'Alexandre le Grand. C'est découverte est sans doute ce qui m'a décidé à me lancer à écrire article.

Par contre je n'ai jamais vu le film d'Oliver Stone avec Colin Farell dans rôle d'Alexandre... Je vais essayé de le trouver.... 

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